samedi 10 mars 2012

«A Star Is Born»: Leonardo DiCaprio avec Beyoncé?

Selon Deadline Hollywood, Clint Eastwood discute avec Leonardo DiCaprio de son prochain film: un remake de «A Star Is Born». Le réalisateur aimerait bien recruter la vedette d’«Inception» pour donner la réplique à Beyoncé, qui est déjà à bord du projet Eastwood réalise «J. Edgar», un film qui raconte l’histoire de feu J. Edgar Hoover, l’ancien directeur controversé du FBI. DiCaprio y est en vedette. Il aurait donc discuté de «A Star Is Born» avec le comédien durant la production.

Les studios Warner tourneront «A Star Is Born». Eastwood agira comme réalisateur et aussi comme producteur par l’entremise de sa firme Malpaso. Will Fetters rédigera le scénario. Billy Gerber, Basil Iwanyk et Jon Peters figureront également parmi les producteurs. Le dernier avait produit la version de «A Star Is Born» (1976) mettant en vedette Barbra Streisand et Kris Kristofferson.

Ce projet de remake est dans l’air depuis quelques années chez Warner. Certains bonzes du studio ont déjà songé à réunir Beyoncé et Will Smith. «A Star Is Born» a fait l’objet de trois versions depuis les années 30 ou même quatre, si l’on tient compte de «What Price Hollywood», tourné par George Cukor en 1932, rappelle Deadline.

vendredi 9 mars 2012

Leonardo DiCaprio : "Je ne fais plus la fête"

Dans une interview, Leonardo DiCaprio a avoué qu'il avait laissé derrière lui toutes les années de fêtes, qu'il écumait lorsqu'il avait la vingtaine. A bientôt 40 ans, l'acteur préfère se consacrer à sa carrière encore prometteuse. Peu de gens le savent mais Leonardo DiCaprio a toujours été un grand fêtard. L'acteur n'a jamais rechigné à se présenter à une soirée et adorait pouvoir se pavaner avec de jolies demoiselles. Au fil du temps, il a bien sûr développé ses goûts et les fêtes de Victoria's Secret sont devenues ses préférées. Il n'y a qu'à voir son tableau de chasse. Mais aujourd'hui, Leonardo DiCaprio ne veut plus faire la fête.

C'est en tout cas ce qu'il a avoué à l'édition allemande du magazine InStyle : "Je ne fais plus autant la fête que ce que j'ai pu faire dans ma vingtaine". Effectivement, à bientôt 40 ans, il y a un moment où il faut savoir appuyer sur le frein. Et puis Leonardo DiCaprio préfère se concentrer sur sa carrière et sur les réalisateurs avec qui il travaille : "En plus, ce serait complètement fou de débarquer sur le plateau d'un tournage avec un réalisateur comme Clint Eastwood avec une gueule de bois", a déclaré l'acteur. Il est vrai que même avec toutes ses nominations aux Oscars et aux Golden Globes, Leonardo DiCaprio n'a jamais remporté la récompense suprême, même s'il est passé très près de nombreuses fois. Peut-être que ce recentrage lui permettra enfin de gagner ce qu'il a tant mérité pendant des années.

dimanche 12 février 2012

Leonardo DiCaprio inspiré par Clint Eastwood

Après avoir officié durant des années comme acteur, Leonardo DiCaprio envisage à faire ses grands débuts dans la réalisation, inspiré par son ami Clint Eastwood. Ce dernier l’a dirigé dans J. Edgar, actuellement sur nos écrans, long-métrage qui dévoile la face cachée de l’ancien et puissant patron du FBI. « Oui. Je voudrais réaliser quelque chose », a répondu l’acteur hollywoodien à une question d’une journaliste de l’édition australienne de « GQ », qui lui demandait s’il envisageait de se lancer dans la réalisation. « Et si je réalisais, j’essaierais d’avoir la même approche anti-co***rie que Clint (Eastwood, ndlr) et son équipe. Sérieusement, il n’y a aucun chichi sur ses plateaux de tournage. C’est à chaque fois une petite équipe unie », a-t-il tenu à faire savoir.

Leonardo DiCaprio : Plus sexy que jamais

Leonardo fera la couverture de l'édition australienne du magazine GQ pour les mois de février et mars. Pour l'occasion, l'acteur s'est quelque peu confié sur ses projets d'avenir. Et il se pourrait bien qu'il passe derrière la caméra. Leonardo DiCaprio n'a reçu aucune nomination aux Oscars pour son rôle dans J. Edgar mais peu importe. L'acteur ne s'arrête pas à ces menus détails et continue de regarder l'avenir et de faire des projets. Il s'est d'ailleurs récemment confié à l'édition australienne du magazine GQ et en a profité pour en faire la couverture, pour les mois de février et mars. Pour l'occasion, DiCaprio est revenu sur ses projets d'avenir et sur son désir de passer derrière la caméra.

"Oui. Je voudrais réaliser quelque chose. Et si je réalisais, j'essaierais d'avoir la même approche anti-co***rie que Clint (Eastwood, ndlr) et son équipe. Sérieusement, il n'y a aucun chichi sur ses plateaux de tournage. C'est à chaque fois une petite équipe unie", s'est enthousiasmé l'acteur, actuellement à l'affiche de J. Edgar. Très sensible à la cause environnementale et à la sauvegarde des espèces, le premier film de Leonardo DiCaprio pourrait bien être sur l'environnement. Après tout, il avait bien co-écrit et co-produit le documentaire La 11e heure, le dernier virage, dans lequel il présentait la lutte contre le réchauffement climatique comme le challenge numéro un dans la défense de l'environnement.

dimanche 15 janvier 2012

Leo DiCaprio est accro aux top models.

Savez-vous ce qu’est un «modelizer» ? C’est un homme qui est sorti avec plus de trois mannequins, qui fait une petite fixation sur ces filles au corps gracile. Leonardo DiCaprio (37 ans), actuellement à l’affiche de «J. Edgar» de Clint Eastwood, correspond tout à fait à ces critères. Après avoir eu, parmi d’autres, de plus eu moins longues aventures avec Gisele Bündchen et Bar Refaeli, la crème des top models, il flirte en ce moment avec l’Australienne Erin Heatherton, égérie de la marque de lingerie Victoria’s Secret, de quinze ans sa cadette. Pourquoi à son âge l’acteur génial, qui sera de passage au Salon de l’horlogerie de Genève cette semaine, ne songe-t-il pas à se ranger, à opter – une fois n’est pas coutume – pour une femme qui n’arpente pas forcément les podiums? Selon le psychiatre français François Perlmutter, interrogé à ce sujet par le magazine Grazia, la «spécialisation» de DiCaprio serait une manière de rassurer sa mère, à laquelle il est très attaché. «Un modelizer court après une image fantasmée de la femme. Leonardo DiCaprio montre ainsi à sa mère qu’elle peut rester tranquille: aucune femme réelle ne lui fera jamais d’ombre.»

Leonardo DiCaprio, boss du FBI, vieux et homo pour Clint Eastwood

On s'attendait à une explosion, un feu d'artifice, une incroyable communion de talents. Clint Eastwood dirigeait Leonardo DiCaprio pour la première fois et lui offrait le rôle de celui qui fut l'un des hommes les plus puissants du monde, celui de John Edgar Hoover, à la tête du FBI pendant 48 ans. Au final, leur collaboration, qui sort aujourd'hui et qui est sobrement baptisée J.Edgar, s'avère être une réussite... Sans étincelles. Clint Eastwood avait de la matière pour son projet. Hoover était un personnage complexe, affabulateur, ambitieux, mystérieux. Il n'hésitait pas à arranger la vérité pour être vu comme le meilleur, au détriment des membres de son équipe, à mettre les célébrités sur écoute sans autorisation pour tout savoir de leur vie privée.

Des mystères emportés dans la tombe Obnubilé par son image et le maintien de l'ordre, coûte que coûte, il était plus commode en public qu'en privé et il a emporté avec lui de nombreux secrets. Sa secrétaire dévouée a détruit tous ses documents, à sa demande, le jour même de son décès. Il a caché son homosexualité toute sa vie. D'après les témoignages qui ont surgi après sa disparition, il fréquentait intimement son bras droit au FBI, Clyde Tolson. Eastwood balaie les différents facettes de la vie de Hoover, le faisant traverser les âges à grand renfort de flashbacks. C'est justement là que ça coince. On mélange le passé et le présent sans indications facilement compréhensibles, du coup, on décroche régulièrement et on trouve parfois le temps un peu long.

Un rôle à Oscar pour Leonardo DiCaprio? Mais il y a la prestation de Leonardo DiCaprio, qui donne une humanité épatante à cet homme au coeur froid. Sa transformation physique devrait plaire à l'Académie des Oscars, friande du genre. Boudé jusqu'ici, il mériterait au moins de décrocher une nomination. Il atteint les 77 ans de Hoover bouffi, la calvitie bien avancée, le regard perçant, le bide en avant. Alors qu'on raconte qu'Hoover aimait se travestir et participer à des orgies, l'homosexualité est ici abordée avec délicatesse. On oublie le frontal, on aura droit à une approche subtile, faite d'allusions et de regards, d'imagination plutôt que de déclarations. Leonardo est convaincant dans ce jeu où la pudeur domine.